[fan fiction] Hospital Bells
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[fan fiction] Hospital Bells
nouvelle fic dans le drame/tragique/romantique
Son corps était lourd, il se sentait mal, il avait chaud, froid, ne comprenait rien. Il se débattait du mieux qu'il le pouvait alors qu'il savait son corps immobile, se battait pour une bouffer d'air, les poumons comprimer. Un étau autour de lui, une pression dans sa tête, des sueurs froides sur son corps et cette sécheresse dans la gorge tout en ayant l'impression de se noyer. Il était mal, très mal et il luttait pour revenir à lui entre ombre et lumière, il tentait de suivre les voix, celles qui appelaient son nom, il crut reconnaître sa mère mais, peut-être n'était-ce que son imagination. Il voulait ouvrir les yeux mais cela lui semblait si ardu, comme si ses paupières étaient scellées, collées l'une contre l'autre. Il sentait la panique l'envahir, arriverait-il à se réveiller? Était-il mort? C'était ça la mort? Il aurait cru que ce serait moins douloureux, ne devait-on pas ne plus rien ressentir lorsque l'on mourait?
Tom! Tom! Fit soudain une voix familière qui semblait plus proche que les autres.
Il tenta de suivre cette voix qu'il aimait tant.
Tom, je t'en pris....revient moi, tu ne peux pas me laisser seul...je ne suis pas complet sans toi.
Cette voix, cette douleur, cet amour, il la connaissait. Il voulait lui parler, tendre les bras, serrer cette main qu'il sentait dans la sienne.
Tom! Tu es là! Je t'ai senti, refait-le! Vas-y frérot, tu peux le faire.
Frérot? Oui, bien sur, son frère, son jumeau, sa moitié, son âme sœur. Il l'appelait, le réclamait, il devait le rejoindre, le serrer contre lui. Il tenta encore une fois de serrer cette main, d'ouvrir les yeux, cette fois il arriva à les décoller un peu mais, une lumière aveuglante lui attaqua les rétines et il geint.
Bravo, c'est bien, ne te force pas trop, je suis là, t'en fais pas.
Il voulait lui parler mais, n'arrivait qu'à bouger douloureusement les lèvres, aucun son ne sortant de sa gorge sèche.
Shh, ne parle pas, le docteur arrive, tout va bien. Maman est là aussi.
Il voulut répondre mais retomba dans l'inconscience.
Il sentit son corps lourd, un matelas sous lui, une chaleur dans sa main, plus près que la fois précédente. Combien de temps c'était écouler? Ou était-il? Quel était cette lumière? Il voulut ouvrir les yeux, parler mais ne parvint qu'à geindre un peu.
Tom, mon chéri! Fit une voix féminine.
Il mima le mot "maman" du bout des lèvres et sentit deux mains entouré la sienne.
Je suis là mon chéri. Fit sa mère avec des sanglots dans la voix.
On devrait lui donner de l'eau fit la voix de son frère de l'autre côté et il aurait voulu le remercier de cette idée de génie, sa gorge n'avait jamais été si sèche.
Il sentit une main sous sa tête et quelque chose frôla ses lèvres, il sentit bientôt du liquide infiltrer dans sa bouche et il tenta d'avaler du mieux qu'il pouvait. Il toussa un peu mais, fut malgré tout soulagé, ça avait fait un bien fou.
B...Bi...Tenta-t-il et il sentit une main dans son front.
Je suis là, ne te force pas à parler.
Il ne lui avait jamais entendu une voix pareil, il semblait si triste, désespéré mais, il sentait une sorte d'espoir et cet amour qui irradiait. Il sentit soudain des cheveux lui chatouiller la joue et il sut que son frère était pencher sur lui, il sentit son front contre le sien.
Tu m'as fait une telle peur...Murmura-t-il simplement et le blesser sentit des larmes tomber sur sa peau.
Il utilisa toute sa force pour lever sa main et il sentit son frère la prendre.
C'est bien Tommy...il ne te reste plus qu'à ouvrir les yeux. Fit sa moitié d'un ton doux.
Il l'écouta et tenta de nouveau de soulever ses paupières lourde, encore une fois la lumière l'aveugla mais, il résista. Il papillonna des yeux, ne voyant que cette lumière blanche aveuglante, lentement il vit apparaître des silhouettes au dessus de lui. Il vit d'abord sa mère, ses long cheveux en bataille, ses yeux marron étirés par la fatigue et l'inquiétude, ses lèvres fine pincées l'une contre l'autre, un sourire triste apparaissant doucement au coin de sa bouche.
Bravo mon chéri, tu as toujours été fort. Lui dit-elle en lui caressant la joue.
Maman...réussit-il enfin à dire dans un souffle rauque.
Elle lui sourit mais, il pouvait voir les larmes dans ses yeux. Elle attira sa main contre son visage, elle semblait si soulagé de le voir enfin réveiller. Tom tourna ensuite son regard vers son frère, il le vit, ses long cheveux blond en bataille, un grand t-shirt déchiré et l'air tout aussi fatigué que sa mère. Ses yeux chocolat en amande étaient brillants d'inquiétude et de soulagement, ses lèvres pleine semblait sèches, jamais il n'avait vu son frère dans un tel état, lui qui prenait si soin de son physique.
T...t'as...u...mine...af...affreuse...Fit Tom et Bill pouffa un peu malgré la tristesse dans ses yeux.
Tu peux bien parler. Répondit-il et ils échangèrent un petit sourire complice avant que Tom ne grimace de douleur.
Il avait sentit comme une lame chauffé à blanc dans le bas de son dos, c'était atroce, il geint de douleur en se tortillant un peu dans le lit. Les deux autres semblèrent inquiets et appelèrent une infirmière. Entre temps la douleur semblait s'être estompés, l'infirmière vérifia malgré tout certaines choses avant de leur dire qu'elle ferait venir le médecin.
Bill donna de nouveau de l'eau à son frère qui réussit à en boire un peu plus, sa gorge se détendant peu à peu. Il regarda mieux autour de lui, il vit qu'il était dans une chambre d'hôpital individuelle, un tuyau était branché à son bras, au moins il n'était pas brancher à un respirateur ou autre c'était plutôt bon signe. Il n'arrivait cependant pas à bouger, la douleur le reprenant dès qu'il tentait un mouvement autre que lever les mains.
Bill...Fit-il et son frère s'approcha. Pourquoi...
Le blond compris que son frère voulait connaître la raison pour laquelle il se trouvait à l'hôpital, il se mordilla la lèvre, l'air mal à l'aise.
Je...je ne sais pas si c'est une bonne idée pour le moment. Répondit-il finalement en échangeant un regard avec sa mère.
Bill...insista Tom avec un regard pesant, il sentait bien que quelque chose n'allait pas.
Tu as eu un accident de voiture...tu ne te souviens pas? Fit finalement le blond.
Le concerné fronçant les sourcils, tentant de se rappeler quelque chose mais, tout ce dont il arrivait à se souvenir c'est de partir de la maison pour aller à une fête, il était là-bas avec son frère et puis...plus rien. Bill sembla hésiter à lui dire autre chose mais le docteur entra à ce moment là.
Bonjour monsieur Kaulitz, il parait que vous êtes déjà réveillé! Fit l'homme en blouse blanche, dans la quarantaine, les cheveux châtains tournant légèrement vers le gris près des tempes.
'jour...Fit le dit monsieur Kaulitz.
Eh bien, voyons voir comment vous allez.
Tom! Tom! Fit soudain une voix familière qui semblait plus proche que les autres.
Il tenta de suivre cette voix qu'il aimait tant.
Tom, je t'en pris....revient moi, tu ne peux pas me laisser seul...je ne suis pas complet sans toi.
Cette voix, cette douleur, cet amour, il la connaissait. Il voulait lui parler, tendre les bras, serrer cette main qu'il sentait dans la sienne.
Tom! Tu es là! Je t'ai senti, refait-le! Vas-y frérot, tu peux le faire.
Frérot? Oui, bien sur, son frère, son jumeau, sa moitié, son âme sœur. Il l'appelait, le réclamait, il devait le rejoindre, le serrer contre lui. Il tenta encore une fois de serrer cette main, d'ouvrir les yeux, cette fois il arriva à les décoller un peu mais, une lumière aveuglante lui attaqua les rétines et il geint.
Bravo, c'est bien, ne te force pas trop, je suis là, t'en fais pas.
Il voulait lui parler mais, n'arrivait qu'à bouger douloureusement les lèvres, aucun son ne sortant de sa gorge sèche.
Shh, ne parle pas, le docteur arrive, tout va bien. Maman est là aussi.
Il voulut répondre mais retomba dans l'inconscience.
Il sentit son corps lourd, un matelas sous lui, une chaleur dans sa main, plus près que la fois précédente. Combien de temps c'était écouler? Ou était-il? Quel était cette lumière? Il voulut ouvrir les yeux, parler mais ne parvint qu'à geindre un peu.
Tom, mon chéri! Fit une voix féminine.
Il mima le mot "maman" du bout des lèvres et sentit deux mains entouré la sienne.
Je suis là mon chéri. Fit sa mère avec des sanglots dans la voix.
On devrait lui donner de l'eau fit la voix de son frère de l'autre côté et il aurait voulu le remercier de cette idée de génie, sa gorge n'avait jamais été si sèche.
Il sentit une main sous sa tête et quelque chose frôla ses lèvres, il sentit bientôt du liquide infiltrer dans sa bouche et il tenta d'avaler du mieux qu'il pouvait. Il toussa un peu mais, fut malgré tout soulagé, ça avait fait un bien fou.
B...Bi...Tenta-t-il et il sentit une main dans son front.
Je suis là, ne te force pas à parler.
Il ne lui avait jamais entendu une voix pareil, il semblait si triste, désespéré mais, il sentait une sorte d'espoir et cet amour qui irradiait. Il sentit soudain des cheveux lui chatouiller la joue et il sut que son frère était pencher sur lui, il sentit son front contre le sien.
Tu m'as fait une telle peur...Murmura-t-il simplement et le blesser sentit des larmes tomber sur sa peau.
Il utilisa toute sa force pour lever sa main et il sentit son frère la prendre.
C'est bien Tommy...il ne te reste plus qu'à ouvrir les yeux. Fit sa moitié d'un ton doux.
Il l'écouta et tenta de nouveau de soulever ses paupières lourde, encore une fois la lumière l'aveugla mais, il résista. Il papillonna des yeux, ne voyant que cette lumière blanche aveuglante, lentement il vit apparaître des silhouettes au dessus de lui. Il vit d'abord sa mère, ses long cheveux en bataille, ses yeux marron étirés par la fatigue et l'inquiétude, ses lèvres fine pincées l'une contre l'autre, un sourire triste apparaissant doucement au coin de sa bouche.
Bravo mon chéri, tu as toujours été fort. Lui dit-elle en lui caressant la joue.
Maman...réussit-il enfin à dire dans un souffle rauque.
Elle lui sourit mais, il pouvait voir les larmes dans ses yeux. Elle attira sa main contre son visage, elle semblait si soulagé de le voir enfin réveiller. Tom tourna ensuite son regard vers son frère, il le vit, ses long cheveux blond en bataille, un grand t-shirt déchiré et l'air tout aussi fatigué que sa mère. Ses yeux chocolat en amande étaient brillants d'inquiétude et de soulagement, ses lèvres pleine semblait sèches, jamais il n'avait vu son frère dans un tel état, lui qui prenait si soin de son physique.
T...t'as...u...mine...af...affreuse...Fit Tom et Bill pouffa un peu malgré la tristesse dans ses yeux.
Tu peux bien parler. Répondit-il et ils échangèrent un petit sourire complice avant que Tom ne grimace de douleur.
Il avait sentit comme une lame chauffé à blanc dans le bas de son dos, c'était atroce, il geint de douleur en se tortillant un peu dans le lit. Les deux autres semblèrent inquiets et appelèrent une infirmière. Entre temps la douleur semblait s'être estompés, l'infirmière vérifia malgré tout certaines choses avant de leur dire qu'elle ferait venir le médecin.
Bill donna de nouveau de l'eau à son frère qui réussit à en boire un peu plus, sa gorge se détendant peu à peu. Il regarda mieux autour de lui, il vit qu'il était dans une chambre d'hôpital individuelle, un tuyau était branché à son bras, au moins il n'était pas brancher à un respirateur ou autre c'était plutôt bon signe. Il n'arrivait cependant pas à bouger, la douleur le reprenant dès qu'il tentait un mouvement autre que lever les mains.
Bill...Fit-il et son frère s'approcha. Pourquoi...
Le blond compris que son frère voulait connaître la raison pour laquelle il se trouvait à l'hôpital, il se mordilla la lèvre, l'air mal à l'aise.
Je...je ne sais pas si c'est une bonne idée pour le moment. Répondit-il finalement en échangeant un regard avec sa mère.
Bill...insista Tom avec un regard pesant, il sentait bien que quelque chose n'allait pas.
Tu as eu un accident de voiture...tu ne te souviens pas? Fit finalement le blond.
Le concerné fronçant les sourcils, tentant de se rappeler quelque chose mais, tout ce dont il arrivait à se souvenir c'est de partir de la maison pour aller à une fête, il était là-bas avec son frère et puis...plus rien. Bill sembla hésiter à lui dire autre chose mais le docteur entra à ce moment là.
Bonjour monsieur Kaulitz, il parait que vous êtes déjà réveillé! Fit l'homme en blouse blanche, dans la quarantaine, les cheveux châtains tournant légèrement vers le gris près des tempes.
'jour...Fit le dit monsieur Kaulitz.
Eh bien, voyons voir comment vous allez.
Dernière édition par Saby le Mer 18 Nov - 5:06, édité 1 fois
Re: [fan fiction] Hospital Bells
trés bon début d'histoire qui tient bien en haleine
tant les descriptions des personnages et des sentiments sont bien décrit on se projette bien dedans
Hâte de connaître la suite ma puce
jtm fort
tant les descriptions des personnages et des sentiments sont bien décrit on se projette bien dedans
Hâte de connaître la suite ma puce
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Localisation : blottis dans les bras de Bill au creux de son cou
Re: [fan fiction] Hospital Bells
Tom se laissa examiner sans rien dire, conscient que si il sortait du coma, les choses n’étaient pas à prendre à la légère. Pourtant une multitude de questions se bousculaient dans sa tête. Depuis combien de temps était-il dans le coma? Comment cela était-il arriver? Pourquoi avait-il si mal au dos? À quel endroit s’était produit l’accident? Y avait-il d’autres blessé? Toute ses questions lui frôlaient les lèvres sans qu’il ne les prononce, son regard sombre, fixé sur le visage de son médecin qui examinait les donnés d’un air sérieux. L’homme finit par lui sourire et lui expliqua qu’il allait lui poser quelques questions, le jeune homme approuva d’un signe de tête.
Savez-vous quelle date nous sommes?
Non. Répondit le patient d’un ton neutre
Quelle est la dernière date que vous vous souvenez?
Le brun réfléchie un moment, tournant les yeux vers sa mère et son frère qui lui lançait des regards encourageant.
Le 9 Mai....un samedi
Le médecin hocha la tête avant de sourire gentiment.
C’est bien la date de votre accident. Aujourd’hui nous sommes Mercredi le 27 Mai.
Tom reçu la nouvelle comme une énorme claque en plein visage. Il venait de passer presque trois semaines dans le coma.
Vous avez de la chance de vous réveiller en aussi bonne forme après ce temps. Vous semblez alerte. Continua le médecin avec ton doux pour ne pas aggraver le choc qu’il voyait dans les yeux de son patient.
Oui mais, je ne me souviens de rien. Je ne sais pas comment je suis arriver ici.
Le médecin hocha de nouveau la tête avec un petit sourire.
C’est tout à fait normal, vous avez vécu un énorme choc et vous avez reçu un coup à la tête, mêler à l’alcool...Il avait terminé sa phrase plus doucement pour ne pas sembler accusateur mais Tom baissa tout de même les yeux.
Je voudrais tellement me rappeler...Chuchota-t-il contrit.
Ça vous reviendra surement avec le temps.
Le médecin continua d’examiner son patient et lorsque celui se braqua en gémissant lorsqu’il palpa son dos, il se redressa.
C’est douloureux?
Invivable. Gémit Tom et le regard du médecin changea.
Nous allons devoir procédé à quelque test supplémentaire....je ne comprend pas...il auraient dut....je n’étais pas de service ce soir là. Marmonnait-il dans sa barbe.
Docteur? Fit soudain la mère de Tom, inquiète.
Le médecin revint à lui et lui fit un sourire rassurant.
Nous allons seulement faire quelques radios. Expliqua-t-il mais cela ne sembla pas suffire pour les trois autres personnes présente qui le fixait avec des yeux inquiets et curieux.
Il est possible que la colonne est été toucher, nous allons juste nous assurer qu’il n’y a rien de casser.
Plus personne ne dit rien, comprenant très bien qu’une fracture à la colonne pouvait être très grave mais n’osant pas insisté plus. Les jumeaux échangèrent un long regard, une conversation silencieuse aillant lieu entre eux. L’estomac de Tom se tordait douloureusement, il n’avait jamais été très religieux mais à cet instant il priait de toute son âme que son dos ne soit pas trop amocher.
C’est la peur au ventre qu’il passa les radios, coucher sur le dos, incapable de bouger à cause de la douleur, plusieurs personnes avait dut l’aider. Les regards que les technicien, infirmier et médecin se lançait entrer eux ne faisant qu’augmenter l’angoisse de leur patient malgré tout leur bon mots.
Le diagnostic ne mis pas longtemps à arriver, le lendemain en fin de mâtiné, après une nuit d’enfer pour Tom qui avait à peine fermer l’œil à cause de la douleur et la peur, le médecin entra dans la chambre. Il tenait plusieurs papier à la main et les regardait avec un air sérieux, le plis entre ses sourcils sembla encore plus profond que la veille, Tom sut qu’il y avait quelque chose. Il se tourna vers son frère et sa mère qui était parti dormir à la maison la veille et avaient accourus à l’hôpital dès leur réveil.
Le médecin les regarda tous à tour de rôle avant de fixer son regard sur le brun, toujours à moitié dans son lit, plusieurs oreiller le soutenant pour l’empêcher de trop souffrir. Le jeune homme avait reçu une dose d’anti-douleur peu de temps auparavant et il se sentait légèrement étourdi mais, la peur était toujours là. Le médecin soupira avant de baisser ses feuilles.
Je suis désolé...
Tous retinrent leur souffle, comprenant que la suite ne serait pas joyeuse, les yeux de Tom s’emplissait même déjà de larme à l’idée qu’il ne pourrait plus bouger comme avant.
Il semble que...le médecin qui était en charge ce soir là est raté quelque chose d’important. Vous avez reçu un important coup au dos...une vertèbre à été touché....
Il continua ses explications sur l’importance des vertèbres et surtout celle du bas du dos et il ajouta que la douleur serait temporaire mais, pas les conséquences.
Je ne pourrai plus marcher c’est ça...croassa Tom, une immense boule s’étant former au creux de son estomac, ses yeux était embués et sa gorge complètement coincé. Il n’avait jamais ressenti autant de peur, de peine et de colère de sa vie, toutes les émotions le submergeait et il commençait à trembler.
Je crains que non...ou en tout cas pas avant un bon moment et plus comme avant....Répondit le médecin après quelques secondes.
Un lourd silence plana dans la chambre alors que l’information se rendait au cerveau de chacun. La mère des jumeaux fut la première à régir, elle porta ses mains à sa bouche avant d’éclater en sanglot. Bill n’eut même pas le réflexe de la consoler, il semblait complètement paralysé, il ressentait chaque émotions émanant de son frère et il était complètement dépassé.
Quant à Tom, il semblait être tomber en état de catatonie, il fixait le vide devant sans aucune réaction, sourd aux sanglots de sa mère et conseil que le médecin continuait de prodiguer à propos de physiothérapie et traitement. Il ne pourrait plus marcher....plus courir, jouer au foot, danser, se batailler avec son frère, ni même conduire. Que restait-il pour lui à présent? Il ne trouverait surement jamais l’amour, qui voudrait d’un paralysé. Il ne pourrait même plus monter des escalier, aller sur la plage, avoir la moto de ses rêves.
Il sentit soudain un poids et revint lentement à lui, sa mère le serrait dans ses bras en pleurant tous son saoul, il ne voulait pas ça, c’était à lui de pleurer, pas à elle, quelle douleur allait-il lui faire vivre maintenant?
Sortez chuchota-t-il et sa mère se redressa sans comprendre.
Mais....commença sa mère entre deux hoquets de sanglots.
Sortez....tout de suite....
Il a besoin d’être seul, laissons le...nous resterons à côté. Fit le médecin, déjà prêt à appeler l’infirmière en charge pour un calmant.
Il prit la femme par les épaules et l’entraîna hors de la chambre, Bill resta un moment debout près du lit mais son frère ne le regardait pas, il finit donc par partir à son tour.
Tom fixa ses jambes un long moment, une quantité telle de pensée se bousculant en lui qu’il n’arrivait pas lui-même à en suivre le fil. Il se redressa un peu malgré al douleur, de toute façon l’anti-douleur avait fait assez d’effet pour que cela reste tolérable. Il posa sa main sur sa jambe et comme il s’y attendait il ne sentit rien. Il l’avait déjà remarquer lors des radios mais il avait essayer de se convaincre que c’était normal que ça allait revenir mais, ça ne reviendrait pas. Il repoussa le drap blanc, dévoilant ses jambes à sa vue. Il en pinça la peau, il ne sentit rien alors il pinça plus fort, toujours rien. Il eut un hoquet, sentant les larmes couler sur ses joues sans qu’il ne puisse les contrôler.
Putain de salope de jambe vous allez sentir quelque chose! S’écria-t-il.
Il donna un coup léger coup de poing sur sa cuisse, rien, il tenta un mouvement, rien, même pas une orteil ne bougeait. Il grogna de rage avant de frapper sa cuisse à nouveau, plus fort cette fois, un coup, puis encore un autre, de plus en plus fort, de plus en vite. Il cria de rage en martelant ses jambes toujours inertes sur le lit, ses larmes tombant en abondance sur lui et sur le lit. Il frappait et frappait et criait, son cœur comme un volcan dans sa cage thoracique, il voulait mourir à cet instant, à quoi bon vivre si ce n’était qu’être que la moitié de lui-même. Soudain un corps fit bouclier entre lui et ses jambes tant haïs, il tenta de continuer de frapper entre les cris et les larmes mais rien n’y fit. Il se calma donc lentement, réalisant peu à peu qu’il s’agissait du l’étreinte si familière et rassurante de son frère qui faisait de petits sons apaisant en le berçant comme on le fait à un enfant. Tom ferma ses poings sur le t-shirt de son frère, s’y accrochant désespérément, pleurant si fort que Bill en avait mal aux oreilles mais il ne dit rien, continuant de le consoler. Le brun enfoui son visage dans le cou du blond, lui mouillant la peau et le t-shirt de ses larmes.
Je veux mourir...mourir...mourir répétait Tom entre ses sanglots et Bill ferma les yeux, laissant échapper les larmes qu’il avait tenter de retenir.
Et moi je veux que tu vives avec moi, on doit mourir en même temps, tu te souviens, on se l’ai promis. Chuchota le plus jeune frère des sanglots dans la voix. On doit vivre très vieux et chiant pour foutre le bordel dans toute la maison de retraite, tu te souviens.
Tom hocha juste la tête en s’accrochant encore plus fort aux épaules de son jumeau, sa moitié, son âme sœur, toujours là pour lui, toujours.
Dernière édition par Saby le Mer 18 Nov - 19:31, édité 2 fois
Re: [fan fiction] Hospital Bells
suite très prenant et très poignante on sent bien toute les émotions, la tristesse et la peur de leut mère, la colère de Tom et l'impuissance de Bill
Très prenant trés triste mais qui reflète une réalité bien réel
Super et émouvante suite ma puce
jtd fort
Très prenant trés triste mais qui reflète une réalité bien réel
Super et émouvante suite ma puce
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Re: [fan fiction] Hospital Bells
Après l'annonce définitive de son handicap aux jambes, Tom passa plusieurs jours dans une sorte de léthargie. Fixant le vide, à demi assis dans son lit d'hôpital, refusant toute nourriture et répondant de simple son et grognement à tout ceux tentant de lui adresser la parole. Après quelques jours de jeun les infirmières durent appeler le médecin qui se présenta dans la chambre avec un air inquiet.
Bonjour monsieur Kaulitz. Lança-t-il en tentant d'être enjoué mais, le jeune homme l'ignora, son regard perdu vers la fenêtre d'ou il pouvait voir le ciel.
Bonjour docteur. Fit Bill, assis sur un fauteuil près du lit, tenant la main de son frère d'une main. L'air fatiguer du blond fit sourciller le médecin qui lui avait pourtant dit quelques jours plus tôt de tenter de se reposer plus plutôt que de rester près de son frère. Il avait été impressionner par le lien unissant les deux frères, l'étreinte du blond lors de la crise de Tom avait été plus efficace que n'importe quel calmant. Le médecin avait vite compris que seul Bill pourrait réellement aider son frère dans les dures épreuves à venir.
Toujours là...vous devriez rentrer vous reposez. Fit le médecin avec un air insistant.
Le blond sourit tristement en tournant le regard vers son frère près de lui.
Je rentre dormir tous les soirs quand les heures de visite se termines. Fit-il en se frottant la nuque qu'il avait raide par le manque de sommeil, il avait beau rentrer. il n'arrivait jamais à fermer l’œil.
Ce n'était pas qu'il ne voulait pas dormir mais, le lien qui l'unissait à son frère était si fort qu'il ressentait la peine, la rage, le peur et l'angoisse de son frère aussi bien que si il avait lui-même eu cet accident. Si Tom ne dormait pas, alors lui non plus, même à distance il pouvait le savoir.
Le médecin soupira un peu en jetant un coup d’œil au dossier du brun toujours dans un état semi-léthargique.
Il se plaça devant la fenêtre pour s'assurer que le jeune homme le voyait bien.
Les infirmières disent que vous refuser de manger...commença-t-il, le brun grogna et tourna les yeux vers le mur à l'opposer.
Le médecin s'arma de patience et suivit le mouvement, se mettant de nouveau devant le jeune homme.
Vous savez que si vous ne mangez pas cela peu être vu comme des idées suicidaire et vous pourriez être transféré à l'étage psychiatrique. dit-il d'un air sévère.
Pour toute réponse Tom haussa les épaules et Bill serra sa main plus fort en fronçant les sourcils, un air de reproche mêler à la tristesse sur son beau visage.
Écoutez, reprit l'homme en blouse blanche. soit vous mangez et vous vous reprenez que l'on puisse commencer des soins adéquat et envisager la physiothérapie, soit vous êtes transférés pour pensée suicidaire et vous serez alors nourrit de force et suivit étroitement par des psychiatre....24 heures sur 24.
Tom leva son regard infiniment triste vers le visage du médecin qui le fixait d'un air très sérieux. Il avait été un peu dur mais parfois certain patient avait besoin de ça et il avait juger rapidement que Tom était l'un de ceux là.
Il était évident qu'il devait être plein de vie, son corps musclé montrait qu'il était surement un grand sportif, le coup devait être dur mais, sa vie ne s'arrêtait pas là et il avait besoin de le comprendre.
Si vous le voulez, vous pouvez parler à un psychologue ou un psychiatre dans votre chambre sans que l'on ait à vous transférés....continua le médecin. Vous devez comprendre qu'un tel transfert retarderait le commencement de la physiothérapie et plus vous commencerez tôt, plus vous aurez de chances de reprendre une vie normale.
Tom ouvrit la bouche, le médecin sembla enfin voir une étincelle de vie dans son regard.
Une vie normale? Demanda le jeune homme d'une voix beaucoup trop rauque pour son jeune âge.
Oui, avec beaucoup de travail et de détermination vous ne pouvez pas savoir ce que vous pourriez faire. Fit le médecin avec un air encouragent.
Je pourrai courir? Demande Tom et le médecin réfléchit un instant, rien ne servait de lui mentir.
Je ne sais pas....mais les chances de remarcher sont assez bonnes. Répondit-il.
Tss...remarcher? Genre avec une canne comme un petit vieux, incapable de suivre le rythme de mes amis, incapable de courir, de faire du sport. Ragea Tom en serrant les poings, serrant ainsi la main de son frère qui grimaça en tentant de lui faire lâcher prise, Tom lui lança un regard désolé et peiné avant de rediriger son regard vers le médecin.
Celui-ci pris une grande inspiration avant de secouer la tête.
Cela dépend toujours de la personnes....chaque cas est différent mais, croyez-moi, j'ai beau être un médecin j'ai déjà vu ce que seul la détermination peu faire, il faut que vous y croyez avant tout...
Un lourd silence plana sur la chambre, Bill fixant son frère, attendant une réaction de sa part, alors qu'il fixait le médecin dans les yeux avec un air chagriné.
De toute façon, pour l'instant je ne vous demande que de mangez pour reprendre des forces, pour le reste, vous seul savez ce dont vous êtes capable. Termina le médecin avant de les saluer et de sortir de la chambre.
Tom resta silencieux un moment, trop de sentiments contraires se bousculant en lui pour qu'il arrive à exprimer quoi que ce soit. Bill se leva en voyant entrer une infirmière qui avait sans doute reçut le feu vert du médecin pour apporter un plateau repas. Le plus jeune frère lui pris le plateau des mains et la remercia d'un sourire. Malgré qu'elle est au moins 15 ans de plus que lui, elle rougit légèrement en lui rendant son sourire, elle s'éclipsa ensuite rapidement. Le blond s'assied sur le lit avec le plateau, il prit la fourchette et pris un peu de pommes de terres en purées avant de la tendre à son frère. Ce dernier lorgna sur la fourchette un instant avec un air renfrogné mais n'ouvrit pas la bouche. Bill insista et lui colla carrément la bouchée sur la bouche, le plus vieux n'eut d'autre choix que d'ouvrir la bouche pour éviter de se retrouver le visage couvert de pomme de terres. Il prit donc la bouché et l'avala lentement, Bill fit un grand sourire victorieux et Tom grogna avant de lui prendre le plateau des mains, légèrement insulté d'être ainsi nourrit. Il ne mangea pas beaucoup mais c'était suffisant pour faire plaisir à son frère qui le remercia en lui serrant la main, pencher vers lui avec un petit sourire mi-triste mi-soulagé.
C'est bon j'ai compris, je vais pas me laisser mourir. D'accord? Fit le brun en grommelant, conscient qu'il inquiétait énormément son petit frère adoré.
Merci Tommy. Sourit doucement Bill et les deux frères échangèrent un regard plein d'amour et de confiance mutuel.
Les jours passèrent et Tom accepta de manger un peu plus à chaque repas, sous l’œil protecteur de son frère qui avait mis sa vie en veille pour venir passer tout son temps avec lui. Après deux semaines Tom avait repris un poids correct et acceptait que les infirmières bouge ses jambes chaque jours pour éviter les plaies de lit mais, il aurait voulu sortir de ce lit. Il n'en sortait que pour aller à la toilettes et il n'acceptait que l'aide de son frère pour ce moment, Bill l'aidait à s'asseoir dans une chaise roulante avant de le mener dans la petite pièce emménager exprès, il le soulevait et l'aidait à s'asseoir sur la toilette avant de éclipser pour lui laisser son intimité et le peu de fierté qu'il disait encore avoir. Bill n'était pas déranger par le fait d'aider son frère et il se fichait bien qu'il soit réduit dans ses mouvements, il était heureux qu'il soit encore en vie. Il aurait aimer que son frère soit lui aussi heureux d'avoir survécu à cet accident mais il sentait un chagrin si grand dans le cœur de son frère qu'il doutait qu'il ne disparaisse un jour.
Tom avait du négocier longtemps, très longtemps avec son infirmière et son frère mais il avait fini par gagner, il avait eu droit à un peu de liberté si l'on pouvait appeler cela ainsi. Assis dans une chaise roulante de l'hôpital il se laissait pousser par Bill dans une petite allée du jardin derrière l'hôpital.
J'ai soif! fit soudain Tom qui espérais se retrouver seul ne serait-ce que quelque minutes.
Son frère hésita un instant avant de soupirer un peu, il arrêta le fauteuil juste à côté d'un banc de bois et verrouilla bien les roues, il s'assura que rien ne bougerait avant de s'éloigner non sans avoir bien avertie qu'il revenait dans cinq minutes.
Tom soupira, heureux d'être enfin dehors et seul, son regard erra un peu, survolant les banc de parc, les quelques arbres, au loin il pouvait voir les voitures passer sur une rue paisible, quelques maisons, trop loin pour en distinguer correctement les détails. Il soupira en se demandant si un jour il pourrait de nouveau conduire une voiture, rencontrer l'amour, avoir une maison, une vie normale agréable...une famille.
C'était la première fois qu'il pensait à ce genre de chose, il n'avait encore jamais pensé à se poser mais maintenant qu'un tel obstacle de mettait sur son chemin il se mettait à douter de tout. Quelle femme voudrait bien de lui maintenant, lui qui avait toujours été un grand tombeur, un sportif, un actif. Qu'avait-il exactement pour lui maintenant? Il n'était pas très drôle, pas romantique ni même très intelligent et il n'avait désormais plus rien de rassurant dans son physique malgré ses muscles. Il soupira de nouveau, encore plus profondément et il entendit soudain un rire près de lui, il sursauta. C'était un rire cristallin, clairement féminin, presque dans son oreille. Il tourna le regard et vit que tout près de lui, sur le banc, quelqu'un avait pris place, une femme ou une fille, la lumière du soleil à contre jour l'aveuglant et l'empêchant de bien la voir.
Eh ben! C'est quoi cette tête d’enterrement? La dernière fois que j'ai vu un visage si long je venais de faire fondre une de mes Barbie par erreur! Lança une voix féminine jeune et douce, pas trop aiguë, ni trop grave, une voix agréable, en tout cas aux oreilles de Tom.
Re: [fan fiction] Hospital Bells
La situation est térs difficile est cela doit être dur a vivre, je ne sais pas ce que je ferais a sa place. Le lien entre Bill et son frère est si fort que personne peut se l'imaginer, et très bien décrit, se lien si fort qui empêche Tom de se laisser mourrir.
Et Bill met sa vie entre parenthése c'est trés forte, les émotions sont trés fortes et trés bien écrites.
J'aime beaucoup ce que j'ai lu et j'ai hâte de savoir ce qui se passe et qui est cette mystérieuse femme :p
Trop hâte de lire la suite ma puce
jtd fort
Et Bill met sa vie entre parenthése c'est trés forte, les émotions sont trés fortes et trés bien écrites.
J'aime beaucoup ce que j'ai lu et j'ai hâte de savoir ce qui se passe et qui est cette mystérieuse femme :p
Trop hâte de lire la suite ma puce
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Re: [fan fiction] Hospital Bells
Elle se moquait de lui ou quoi? Lui demander pourquoi il a l'air aussi triste, elle devait bien avoir vu dans quoi il était assis. Il grogna pour simple réponse et détourna le regard, préférant ignorer cette énergumène. Il entendit un petit rire et se tendit, elle se moquait vraiment de lui!
Je suis navré, je ne dis pas ça méchamment, je voulais juste te faire rire. Dit l'inconnue et il vit un mouvement près de lui. Je m'appel Sabrina et je crois que nous avons environ le même âge. Je ne supporte pas de voir les gens triste donc...continua-t-elle mais Tom ne répondit pas.
Dans l'état ou il se trouvait il n'avait envie de voir personne et surtout pas une fille de son âge. Il avait honte d'être vu ainsi, il soupira bruyamment et appuya sa tête sur sa main la plus éloigné de la jeune femme, espérant qu'elle comprendrait et partirait. Apparemment elle ne comprenait pas le langage corporel parce que plutôt que se s'éloigner il la sentit se pencher près de lui. Il tourna légèrement les yeux vers elle et vit son visage pour la première fois.
Ses yeux verts légèrement étiré sur les côté luisaient de malice, ses traits étaient fins, son nez légèrement retroussé au bout, sa bouche étroite mais pulpeuse, en forme de cœur. Il fallait avouer qu'elle était assez jolie avec ses pommettes très prononcé et la finesse de son menton. Ce qui le surprit le plus fut cependant la couleur de ses cheveux, d'un bleu aqua sur le dessus avec des mèches bleu royal en dessous, elle portait une frange droite coupé au sourcils teinte de la même façon il ne voyait que la pointe des cheveux du dessous plus foncé. Elle était penché vers lui, ses cheveux de mer se balançant, il put voir qu'ils descendait à peine plus bas que ses épaules. Le contraste entre ses yeux verts herbe et ses cheveux couleur de l'eau était saisissant et se fut étrangement l'image d'une sirène qui vint à l'esprit de Tom....de l'eau turquoise et des algues verte.
Alors tu ne veux pas me dire la raison de cette face longue? Tu sais parfois c'est plus facile de se confier à un étranger. Lança-t-elle en lui souriant gentiment.
Elle était persistante en tout cas il soupira de nouveau et tourna finalement complètement son visage vers elle.
Il me semble que c'est évident! S'exclama-t-il un peu irrité qu'elle envahisse ainsi son espace personnel.
Elle se redressa et passa une mèche de cheveux derrière son oreille en le fixant sérieusement, elle plissa les yeux comme si elle réfléchissait puis secoua la tête.
Non je ne vois vraiment pas. Répondit-elle si sérieusement que les épaules de Tom s'affaissèrent.
Tu te moque de moi? Demanda-t-il finalement après quelques secondes.
Non, je ne me moque jamais des gens. Dit-elle toujours aussi sérieuse, elle qui semblait si taquine juste avant.
Ce truc là! Tu le vois pas! Grogna Tom en pointant les roues de son fauteuil.
Bien sur.
Alors il me semble que c'est évident pourquoi j'ai l'air comme ça! Je viens de perdre l'usage de mes jambes! Explosa Tom et elle se recula un peu.
Je suis désolé pour toi mais, je ne suis pas du genre à m'arrêter à ce genre de détail et je ne pouvais pas savoir que c'était récent. Répondit-elle.
Ben maintenant tu le sais!
Il avait été un peu abrupt mais il avait du mal à contrôler tous les sentiments qui affluaient depuis l'accident.
Il y eut un long silence alors que Tom tentait de se calmer, elle se contenta de le regarder mais, il ne vit ni pitié, ni tristesse dans ses yeux, ça le changeait un peu des dernières semaines.
Je pensais juste au fait...que je ne pourrai surement jamais refaire de sport et encore moins me marier. Finit par se confier le brun sans trop savoir pourquoi cela était si facile.
Pourquoi jamais te marier? Demanda-t-elle un peu surprise.
Ben....qui voudrait de moi maintenant, je ne suis qu'un handicapé. Soupira le jeune homme et un large sourire apparut sur le visage de la coloré jeune femme.
Si ce n'est que ça, il y a plein de gens handicapé qui sont marier tu sais. Dit-elle avec entrain.
Elle se recula sur le banc et croisa ses jambes habillé d'un leggings de cuir, Tom pensa que son look plairait surement à son frère avec son haut noir orné de pique de métal sur les épaules et ses nombreux bijoux.
Je ne connais pas de filles de ce genre. Argumenta Tom. Les filles de notre âge sont plutôt superficielle en général sans vouloir t’offenser.
Ça ne m'offense pas, je sais que je ne suis pas comme ça donc...Répliqua-t-elle un peu amusée.
Tu sortirais avec un mec en chaise roulante? Demanda Tom, certain de sa réponse négative.
Pourquoi pas, si j'en tombe amoureuse. Fit-elle de façon franche, le brun en douta un peu. L'amour n'est pas physique, elle est invisible, l'important n'est pas ce que tu peux ou ne pas faire mais qui tu es réellement à l'intérieur.
Tom eut un petit rire jaune.
J'ai toujours crut que y'avait que les gens laid qui disait ce genre de truc. Fit-il finalement avec un sourire en coin.
Ça veut dire que tu me trouve jolie? Demanda-t-elle du tac au tac.
Réalisant ce qu'il venait de dire le brun se mit à rougir violemment et tourna la tête.
Ce n'est pas se j'ai dit. Marmonna-t-il.
Moi je trouve que tu es beau garçon, je suis sur que même sans tes jambes tu trouveras une fille bien. Dit-elle en se levant.
Cette fille était vraiment très franche, lui dire si simplement qu'il était beau.
Je dois y aller, bye bye. Fit-elle avec un petit signe de la main.
Il ne savait pas trop pourquoi mais cette fille lui plaisait bien, pas nécessairement pour du flirt mais sa franchise était un véritable vent de fraîcheur. Elle n'avait pas pitié de son état et même n'en avait absolument rien à faire, il c'était enfin senti humain pour la première fois depuis son réveil du coma. Il la regarda s'éloigner un instant avant de l'appeler.
Attend! Tu...vas revenir ici? Lui demanda-t-il et elle se tourna vers lui en riant, elle lui montrant son poignet plâtré qu'il n'avait pas remarquer avant. .
Pas trop le choix...on se reverras peut-être. Répondit-elle avec un sourire mystérieux.
Au fait...je suis Tom. Ajouta le brun et elle sourit en plissant les yeux d'un air taquin.
Elle ne dit rien de plus et s'éloigna en lui faisant des signes.
Mais enfin pourquoi tu cris comme ça! Fit soudain la voix de Bill derrière Tom et il sursauta.
Je...y'avait une fille...Bafouilla-t-il et Bill haussa un sourcil en regardant dans toutes les directions amis ne vit personne.
Une fille? Tu changeras jamais, toujours en train de flirter. s'amusa le plus jeune frère.
Je ne flirtait pas! S'énerva Tom, même si il avait sans le vouloir complimenter la jeune femme.
En même temps c'était vrai qu'elle était très jolie, même plus que ça, elle respirait la gentillesse et la bonne humeur et cela semblait la rendre encore plus belle.
Ce serait bien de la revoir, mais il se doutait bien que même si elle revenait à l’hôpital il y avait peu de chance qu'ils ne se recroisent.
Bill lui demanda plus d'explication et Tom répondit de manière évasive, ne voulant pas donner tous les détails de sa conversation avec la belle étrangère. Étrangement il avait l'envie égoïste de garder tout ça pour lui, sa gentillesse, son sourire, sa franchise, ça lui avait réchauffer un peu le cœur et il semblait plus serein lorsqu'il retourna à sa chambre. Malgré tout il n'avait toujours pas accepté son état et tous savait qu'il avait encore beaucoup de chemin à parcourir avant d'être heureux.
La nouvelle qu'ils apprirent le lendemain matin vint cependant cassé la très minuscule quantifié d'espoir que le jeune homme avait récupéré de sa conversation avec la sirène comme il se plaisait à l'appeler pour lui-même.
Il était à peine neuf heures du matin lorsque deux policiers entrèrent dans sa chambre, sa mère qui venait d'arriver se recula sur sa chaise avec un air effaré alors que Bill se levait, près à défendre son frère.
Vous êtes bien monsieur Tom Kaulitz? Demanda l'un des deux agents.
Oui...Fit l'appeler avec hésitation.
Nous devons vous remettre une mise en demeure, les parents des deux victimes présent dans l'autre voiture on décidé de vous poursuivre pour conduite dangereuse aillant causé des blessures. Fit le deuxième policier, une femme cette fois.
Qu...quoi...Croissa Tom en ouvrant grand les yeux, personne n'avaient voulu lui dire si il y avait eu des victimes de l'accident.
Simone gémit doucement et se mit à sangloter alors que Bill s'approchait des policiers pour prendre les papiers qu'il tenait.
Je ne savais même pas qu'il y avait eu des blessés. S'attrista Tom .
Deux jeune d'environ votre âge, un avec blessure mineure et l'autre toujours à l’hôpital. Expliqua l'agent homme.
Tom sentit son estomac se tordre et il retint de justesse son petit-déjeuner qui menaçait de ressortir de son corps. Il avait blessé des gens dans sa stupidité, il ne s'était jamais senti aussi coupable de sa vie.
Pourquoi personne ne me l'a dit...Souffla-t-il en tournant la tête vers sa mère qui continuait de pleurer, le visage dans ses mains.
Nous ne pouvons pas vous donnez de noms pour le moment mais sachez que vous avez droit à un avocat, nous passerez éventuellement en cours mais la date n'a pas été décidé. Continua la femme.
Je ne peux même pas sortir d'ici...Fit Tom.
Il n'arrivait plus à penser correctement, il répondait machinalement, son cerveau vide de toute pensées. Tout ce qu'il voyait c'était les regards plein de douleur de personne qu'ils ne connaissait même pas.
vous devrez trouver un moyen de vous y présenter, nous vous avons laisser une liste d'avocat que vous pouvez contacter, sur ce....bonne journée. Termina le policier avec un air désolé, il voyaient bien tous les deux que ce jeune homme était dans tous ses états.
Dès que les policiers furent sortis Tom sorti de sa torpeur.
POURQUOI PERSONNE NE ME L'A DIT!!!! explosa-t-il en frappant son poings sur le matelas.
Je...commença Bill
On ne se cache jamais rien non? Fit Tom les larmes aux yeux, blessés que son frère est put lui cacher une chose aussi importante.
Ce..n'est pas de sa faute. Expliqua Simone entre deux sanglots. C'est moi, je ne voulais pas te faire encore plus de mal, j'espérais qu'il ne poursuivrait pas...Débita-t-elle dans ses larmes.
Eh bien ils l'ont fait et j'aurais préférés et y être préparé! Cria Tom alors que les larmes chaudes commençaient à dévalés ses joues.
Je suis désolé. Gémit la pauvre mère et Tom grogna, les poings serrés, se sentant aussi lamentable que lorsqu'il avait compris que ses jambes ne fonctionnerait plus. Si il se retrouvait en prison il l'aurait bien mérité non?
Je dois sortir d'ici fit-il entre ses dents.
Bill hocha juste la tête et alla chercher une chaise roulante. En silence ils roulèrent jusqu’au même banc de parc que la veille, Bill bloqua les roues et pris place sur le banc, là ou s'était tenu Sabrina. Ils restèrent tous deux silencieux alors que Tom jonglait avec les nombreuses émotions qui l'envahissait. Finalement le plus vieux éclata en sanglots amers, cachant son visage dans ses mains, le plus jeune vint l'enlacer sans rien dire, lui transmettant à sa manière son soutient et son amour.
Dernière édition par Saby le Dim 14 Fév - 16:37, édité 1 fois
Re: [fan fiction] Hospital Bells
Ben cette suite est pleine de rebondissements, d'abord cette rencontre avec cetet jeune femme qui l'apaisse un peu mais comme on dit c'est le calme avant la tempête
En tout cas la jeune femme st rés spontané et a reussie a le faire sourire l'espace d'un instant
Mais la fin est trés instense et je ne m'y attendais pas j'espère qu en plus de ca il ne devra pas aller en prison certesil doit payer ses erreurs et d autres on subit de son erreur mais il paie déja le prix fort...
Je sais comment qu'ilva faire pour tenir le coup
en tout cas c'est une belle suite, tu fais de belle chose avec les mots toute ses description et métaphore c est trés beau
me tarde de connaître la suite
En tout cas la jeune femme st rés spontané et a reussie a le faire sourire l'espace d'un instant
Mais la fin est trés instense et je ne m'y attendais pas j'espère qu en plus de ca il ne devra pas aller en prison certesil doit payer ses erreurs et d autres on subit de son erreur mais il paie déja le prix fort...
Je sais comment qu'ilva faire pour tenir le coup
en tout cas c'est une belle suite, tu fais de belle chose avec les mots toute ses description et métaphore c est trés beau
me tarde de connaître la suite
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Re: [fan fiction] Hospital Bells
Tom pleura amèrement durant de longue minutes avant de retourner à sa chambre, les deux frères restant silencieux. Leur mère les attendaient, les yeux rougis, Tom ne lui avait jamais vu un air si triste, elle semblait complètement anéanti.
Tom, je suis désolé de te l'avoir caché. Dit-elle la voix rauque et le concerné haussa les épaules alors que son frère l'aidait à replacé ses jambes sur le lit après l'y avoir assis.
Tom...tenta de nouveau sa mère.
Je voudrais rester un peu seul pour le moment. Répondit simplement son fils et elle voulut répliquer mais Bill la prit par les épaules et l’entraîna dans le couloir.
Tu devrais aller te reposer un peu maman, tu n'as pas dormi de la nuit. fit le blond et sa mère hocha juste la tête, se sentant si impuissante dans toute cette histoire.
Aucune mère ne devrait vivre ce genre d'expérience ne put-elle s'empêcher de penser, elle avait failli perdre son fils et maintenant il se retrouvait diminuer et elle n'y était pas préparé.
Une fois sa mère et son frère parti Tom ferma les yeux en soupirant, il avait pleurer tout son saoul, maintenant il devait réfléchir à ce qu'il devrait faire.
D'abord choisir un avocat mais...à quoi bon, si il se retrouvait en prison se serait mérité non? En même temps, se retrouver derrière les barreaux en plus d'être pris dans une chaise roulante ne l'enchantait guère. il se devait d'au moins aller en cours pour s'excuser. Il ne savait même pas qui s'était, homme ou femme, leur âge exact? Quel blessures avaient-ils subit? Tant de question se bousculaient dans sa tête, il commençaient même à sentir une migraine pointer le bout de son nez. Il soupira et ferma les yeux, pinçant l'arrête de son nez entre ses doigts.
Il entendit soudain un petit rire et sursauta, ce n'était pas possible....si?
Sabrina! S'exclama-t-il en apercevant la jeune femme debout dans le cadre de la porte.
Eh ben, tu as un petit mal de tête on dirait. S'amusa-t-elle pour toute réponse et il soupira.
Bien pire que ça....Souffla-t-il, il failli lui en parler mais se retint. Sinon tu fais quoi ici?
Ah, je reviens d'un petit rendez-vous pour mon bras et je passais par ici par hasard. Répondit-elle en s'avançant un peu dans la chambre, jetant des regards curieux autour d'elle.
Ce n'est pas du tout sur le chemin de la sortie. Fit Tom en relevant un sourcil et elle sourit mystérieusement pour toute réponse.
Il n'insista pas, comprenant qu'elle lui cachait quelque chose, il ne la connaissait pas et ça ne le regardait pas.
Je passais devant et la porte était ouverte, j'ai été super surprise de te voir, tu avais l'air super concentré. Expliqua-t-elle en se laissant tomber sur la chaise près de lui sans lui demander.
Je...réfléchissais. Répondit-il simplement.
Je vois et tes réflexions t'ont-elles mener quelque part? Demanda-t-elle en se penchant pour appuyer ses coudes sur le lit.
Il regarda ses cheveux bleu frôler son épaule et son regard descendit inconsciemment, il crut apercevoir un début de décolté sous son haut violet mais elle se redressa lentement en se raclant la gorge. Il releva subitement les yeux et croisa son regard, il rougit violemment et regarda ailleurs.
Ben je t'en pris....s'amusa-t-elle.
Je suis désolé, c'était pas voulu je...excuse-moi. Balbutia-t-il n'osant plus la regarder en face.
C'est bon, t'as regarder même pas une seconde te met pas dans cet état. Rigola-t-elle
Elle semblait si détendu et pas du tout vexé par son regard mais, il ne pouvait s'empêcher de rougir même si il n'avait eu aucune arrière pensée à ce moment.
Tu veux en parler? Dit-elle soudainement et il tourna les yeux vers elle. De ce qui te tourmente.
Je...ne suis pas prêt à en parler. Répondit-il avant de soupirer, il reposa sa tête sur ses nombreuses oreiller et baissa les yeux sur ses mains.
Je vois, tu as envie de parler d'autre chose dans ce cas? Répondit-elle pleine de gentillesse et de compréhension.
Je...tu es sur que tu n'as pas quelque chose de plus intéressant à faire que de parler avec un handicapé? Demanda-t-il sans la regarder en face.
Tu veux te débarrasser de moi? Demanda-t-elle et il releva subitement la tête.
Quoi? Non! Je...hmf...Il bloqua en voyant son sourire moqueur. Je croyais que tu ne moquais jamais des gens.
Seulement de ceux que j'apprécie. Sourit-elle.J'aurais sans doute des choses à faire mais, j'ai envie de parler avec toi monsieur l'handicapé.
Il grogna mais ne put s'empêcher de sourire un peu, elle était véritablement une bouffé d'air frais. Il finit par accepter de lui parler et ils échangèrent un peu sur leur vie. Il appris qu'elle étudiait en histoire classique et qu'elle rêvait de faire le tour du monde pour découvrir de nouveaux sites historique. Elle aimait faire du bénévolat, travaillait à temps partiel dans un café et aimait presque tous les styles de musique. Il aimait bien l'écouter parler, elle était enjoué et amusante, elle ne lui posait pas de question non plus, comme si elle avait compris qu'il voulait juste pensé à autre chose que sa propre vie. Ils se contentait surtout de commenter ce qu'elle disait mais, il lui appris tout de même avoir un frère jumeau et avoir un an de plus qu'elle, ce peu de renseignement semblèrent parfaitement la satisfaire. Après presque 45 minutes elle affirma devoir rentré et se leva.
Bye bye! Fit-elle en se retournant.
Non attend! Fit soudain Tom en lui attrapant le bras.
Elle se retourna avec un air surpris.
Excuse-moi! S'exclama-t-il avant de la lâcher. Je voulais savoir si....si tu accepterais de venir me voir de temps en temps...te parler me change les idées et....c'est agréable.
Il rougit légèrement de son aveu mais elle lui sourit gentiment.
Bien sur! Elle fouilla dans son sac et en sorti un petit calepin et un crayon, elle griffonna quelque chose, arracha la page et lui donna. Appel-moi ou envoie un texto si tu ne te sens pas bien ou...même si tu te sens bien.
D'accord, merci. Répondit-il en regardant le numéro qu'elle avait écrit.
À bientôt Tommy!
Et elle sorti sans plus de cérémonie.
Bill qui avait reconduit leur mère à la maison marchait dans le couloir lorsqu'il vit une belle jeune femme sortir de la chambre de son frère, il fonça les sourcils en la regardant s'éloigner avant d'entrer dans la chambre.
Je viens de voir une fille sortir de ta chambre! S'exclama-t-il et Tom sursauta violemment en cachant le papier dans son poing. La même que l'autre jour? Tu flirtais encore?
Je ne flirtais pas! S'écrira Tom les joues rouges.
Son frère haussa un sourcils en avisant le petit bout de papier dépassant du poing fermé de son frère mais ne dit rien de plus, peut-être qu'une fille s'intéressant à lui l'aiderait à reprendre un peu de confiance.
Les jumeaux ne reparlèrent pas de la jeune femme dans les jours qui suivirent, Tom garda précieusement le numéro mais n'osa pas la contacter de peur de la déranger. Ils se concentra plutôt sur son procès, il trouva une avocate très gentille qui était prête à l'aider de son mieux et la date de sa sortie d'hôpital fut choisi pour la semaine suivante. Tom voulait revoir sa belle sirène au moins une dernière fois avant de retourner chez lui et il se dit qu'il devrait bien finir pas au moins lui écrire. Il lui envoya donc un texto le samedi soir, 6 jours jours après l'avoir vu, lui annonçant qu'il rentrait chez lui le Vendredi. Lui qui avait choisi ce soir-là en se disant qu'elle serait surement sorti et ne verrais pas son message tout de suite il fut surpris d'entendre son portable sonné moins de 5 minutes plus tard.
Salut!! Contente d'avoir de tes nouvelles enfin. Tu sors Vendredi! C'est super, je vais passer te voir demain, rendez-vous hebdomadaire. Bises!
Il ne sut trop pourquoi mais son message le remplit de joie et il s'endormit plus facilement que d'habitude ce soir là.
Re: [fan fiction] Hospital Bells
Le jeune homme grogna et repoussa la femme pour la énième fois.
Ne me touchez pas! S'emporta-t-il et l'infirmière se redressa les mains sur les hanches.
Il faut bien vous lavez! Dit-elle d'un ai sévère, ses sourcils se fronçant.
Alors laissez-moi au moins le faire seul bon sang, je peux encore utiliser mes mains. Grogna le pauvre Tom en tentant de cacher sa nudité, assis sur un banc dans le bain.
Pourquoi tant de chichi jeune homme? J'en ai vu d'autres vous savez! Répondit la femme avec un air amusée.
S'il vous plait...si j'ai besoin je demanderai mais laissez-moi au moins laver....cette partie là, j'aimerais garder le peu de dignité qu'il me reste. Demanda-t-il avec des yeux implorant.
L'infirmière soupira et leva les yeux au plafond avant de lui tendre le savon et l'éponge, elle tourna ensuite les talons et sorti.
Merci. Fit le brun et elle lui fit signe qu'elle restait juste à côté.
Tom soupira en commençant à se laver, il détestait vraiment ça, devoir dépendre de quelqu'un pour des choses aussi simple qu pendre un bain, ça le rongeait. Il se dépêcha de finir et fit de son mieux pour laver le plus possible ses jambes avant d'appeler l'infirmière pour qu'elle l'aide à sortir de là. Il aurait nettement préféré que son frère l'aide mais celui-ci avait bien dut finir par retourner travailler.
Enfin de retour dans son lit, sécher et habiller le jeune homme pensa à la visite qu'il aurait ce jour-là et sourit. Au moins elle, elle lui donnait envie de sourire, même si il n'arrivait toujours pas à s'expliquer totalement pourquoi. Elle était juste comme un vent de fraîcheur dans un désert étouffant.
Des coups à la porte le sortirent de ses pensée et il leva la tête, son sourire s'élargissant en reconnaissant sa sirène au cheveux bleu sur le pas de la porte.
Hey tu arrive tôt! Fit-il en lui faisant signe d'approcher.
Je n'en pouvais plus chez moi, ma mère s'est lancé dans le grand ménage Expliqua-t-elle d'un ton rieur.
malgré le fait que Tom lui avait indiqué la chaise juste à côté de lui, elle se laissa plutôt tombé sur le lit avec un air joyeux.
Alors comme ça tu sors de là bientôt!
Oui, enfin!
Nerveux? Demanda-t-elle légèrement plus sérieuse.
Je meurs de trouille....je ne suis pas prêt à ce que le gens....
Il baissa les yeux et toucha une de ses jambes avec un air triste, elle posa sa main sur la sienne avec un sourire encourageant.
Pas prêt à être vue comme ça hein. Murmura-t-elle et il secoua la tête.
Vas-y en douceur, vois d'abord ceux en qui tu as le plus confiance, tout ira bien. L'encouragea-t-elle.
Il hocha un peu la tête, pas totalement convaincue.
Ce sont dans les pire moments de notre vie que l'on apprend qui tient vraiment à nous. Ajouta-t-elle.
Tu as surement raison. Répondit le brun en souriant très légèrement.
Sache, que j'ai TOUJOURS raison, c'est une règle fondamental pour sociabiliser avec moi.
Il éclata de rire et elle eut un sourire satisfait de lui avoir enlever son air de condamné à mort.
Et là, il me regarde avec un air confus et commence à bafouiller qu'il est désolé et je ne sais quoi! Je te jure, un idiot! S'écria la jeune femme en faisant de grand geste.
Tom éclata de rire pour la énième fois de la journée alors qu'elle lui raconte des épisodes amusant de sa vie. Sa présence avait vraiment ensoleillé sa journée, tellement qu'il n'avait pas vu le temps passé et qu'il sursauta presque en voyant son frère entré dans la chambre.
Bill! Il est déjà 4 heures? S'exclame le brun alors que la belle jeune femme se retourne pour voir le visiteur.
4h20 pour être précis. Répond Bill en haussant un sourcil, son regard se fixant sur la jeune femme.
Elle lui sourit et se lève en lui tendant la main.
Sabrina, enchantée! Se présente-t-elle et le blond lui serre la main en se présentant à son tour.
Je suis désolé mais, je n'avais pas vu l'heure moi non plus et je dois me sauver! Ajouta-t-elle en se retournant vers Tom avec un air désolé.
Je comprend. Fit-il en lui souriant gentiment et elle ramassa son sac près de sa chaise avant de se pencher vers lui pour poser un baiser sur sa joue. Le jeune homme rougit sous l'attention et elle lui lança un regard amusé.
Demain j'ai qu'une demi journée de cours, donc je viendrai te déranger un peu.
Tu ne me dérange jamais mais, tu es sur que tu n'as pas mieux à faire
Elle fit la moue en posant ses mains sur ses hanches.
Je te l'ai déjà dit, si je viens c'est parce que j'en ai envie, alors ne pose plus cette question. Le sermonna-t-elle et il grimaça.
D'accord d'accord, à demain dans ce cas.
Elle les salua une dernières fois avant de partir, les deux jumeaux la regardèrent s'éloigner avec le même sourire au coin des lèvres.
Charmante. fit Bill avant de se tourner vers son frère avec un air insistant.
Quoi? Je ne flirtais pas!
Bill éclata de rire et tapa l'épaule de son frère en prenant place près de lui.
Si tu le dis, monsieur le tombeur.
Comme promis elle revint le lendemain, Lundi, puis le mercredi et enfin le Jeudi, chaque fois ils parlaient et riaient pour tout et pour rien. Tom était toujours plus joyeux les jours qu'elle venait, il avait cesser de crier sur les infirmière qui venait prendre soin de lui....même s'il refusait toujours de se faire laver. La jeune femme avait également rencontré la mère de Tom lors d'une de ces visites et celle-ci l'avait tant adoré qu'elle en avait parler des heures après. Elle répétait qu'elle la voulait comme belle-fille, faisant rougir Tom qui tentait d'expliquer qu'ils n'étaient que de simple amis. Le jeudi, juste avant de partir, elle lui promis d'être là pour son départ et elle parti après son baiser sur la joue déjà devenue une habitude.
Le Vendredi matin, Bill, leur mère et même leur beau-père étaient arriver tôt pour le départ de Tom. Il devait partir à 10 heures mais il était maintenant 9h55 et la jeune femme n'était toujours pas là, Tom s’inquiéta un peu. Et si elle n'avait été gentille avec lui que par pitié pendant son séjour à l'hôpital? Et si elle avait réaliser que finalement elle n'avait pas evie d'avoir un handicapé comme ami? Et si? Et si?....
Tom, calme-toi! Fit soudain Bill en empêchant son frère de son ronger les ongles.
Elle a surement juste eu un contre-temps, elle va arriver et sinon ben on lui laissera un message à l’accueil avec l'adresse. Tenta-t-il pour le rassuré.
Je...ouais....peut-être qu'elle ne veut pas venir aussi. Murmura Tom et Bill leva les yeux au ciel.
Elle sera pas venu presque tous les jours de cette semaine si elle n'était pas un minimum intéresser par toi.
Tom haussa les épaules et Bill ouvrit la bouche pour ajouter autre chose mais leur mère s'approcha.
Nous devons y aller les garçons.
Re: [fan fiction] Hospital Bells
Les jumeaux échangèrent un regard et Tom baissa la tête en soupirant. Tout doucement Bill commença à pousser le fauteuil roulant de son frère, il était le seul à avoir le droit de le faire, n'importe qui d'autre avait droit à une crise dès qu'il approchait. Tom ne voulait pas qu'on le pousse, il voulait le faire lui-même, il ne voulait pas de pitié ou d'aide. C'était déjà assez douloureux de vivre sans ses jambes, si en plus il devait perdre toute indépendance, il ne s'en remettrais jamais. Cependant, à cet instant il n'avait pas envie de pousser lui-même son fauteuil avec ses bras, il avait le moral à plat. Elle n'avait pas tenue sa promesse....elle n'était pas venue, peut-être que finalement elle n'en avait rien à faire de lui. Ils descendirent à la réception, Simone signa les papiers de sortie et reçu les dernières instructions pour son fils avant qu'ils ne sortent. Gordon, le beau-père des jumeaux avait approcher le VUS de l'entrée, le coffre-arrière était assez grand pour contenir le fauteuil plié. La portière arrière était ouverte et Bill venait de mettre le frein du fauteuil lorsqu'ils entendirent tous un grand cris.
Tooooooom! Tooooom!
L'appeler se retourna du mieux qu'il le pouvait, une lueur d'espoir dans le regard. Lorsqu'il aperçut la jeune femme excentrique courir vers eux comme une folle, le soulagement sur son visage fut tel que Bill ne put s'empêcher de sourire.
Tom! Attend-moi!
Tom commença à lui faire la moral les sourcils froncés, tentant de ne pas sourire.
Tu es en reta.....
Il ne put finir sa phrase elle venait de se jeter sur lui et ils faillirent tous les deux tomber du fauteuil.
Je suis désolééééé!!! Cria la jeune femme.
Elle se redressa, toujours accrocher au cou du jeune homme, un genoux sur la roue du fauteuil.
Désolé, je suis là, ma mère m'a retenu et....pardon je suis là! Continua-t-elle de s'excuser.
Tu es là...c'est bon...tant que tu es venue. Murmura Tom et elle sourit en se relevant.
Elle semblait à bout de souffle, ses cheveux étaient un peu en bataille et son sac à dos en faux cuir noir pendait sur l'une de ses épaules.
J'ai dut courir! J'étais si nerveuse de te raté que je suis descendu un arrêt trop tôt! Déjà que j'avais du partir plus tard...oh lala....
Elle mit une main sur son cœur et inspira profondément.
Je suis soulagé de l'avoir fait à temps.
Tom sentit une douce chaleur se répandre dans son ventre, elle avait courut et elle avait eu peur de le raté, elle avait fait autant d'effort pour être à l'heure...juste pour lui.
Bonjour Sabrina. Fit soudain Simone, la mère de Tom et la plus jeune se tourna vers elle.
Bonjour, pardon d'arriver comme ça. S'excusa-t-elle avec un sourire aimable.
Aucun problème ma chérie! Voici mon mari Gordon.
Elle salua l'homme au regard pétillant et au sourire aimable avant de se tourner de nouveau vers Tom.
Je ne vous dérange pas plus..commença-t-elle.
Quoi! Ah non tu viens d'arriver! Tu viens avec nous! La coupa Simone avant même que Tom n'est pus dire quoique ce soit.
N'est-ce pas mon grand? Insista Simone en fixant Tom avec de gros yeux.
Celui-ci hésitait entre étrangler et embrasser sa mère, bien sur qu'il voulait qu'elle vienne mais, sa mère n'était pas du tout subtil dans ses intentions. Elle ne rêvait que de voir son fils en couple avec la rafraîchissante jeune femme.
Bi...bien sur, tu peux venir avec nous si tu as le temps. Répondit Tom en jetant un regard noir à sa mère avant de sourire à sa sirène.
Eh bien...je n'ai rien de prévu...vous êtes sur que je ne dérange pas?
Aucun problème, il reste une place derrière. Sourit Simone en tapant ses mains ensemble, plus que ravie de la tournure des choses.
Après s'être mis tous d'accord, c'était maintenant le moment pour Tom d'entrer dans la voiture, Gordon et Bill s'approchèrent de lui mais il leva les mains de manière agressive.
Ne vous approchez pas de moi! s'exclama-t-il le regard noir.
Mais...nous voulons juste...Tenta Gordon.
Je vais le faire seul! Grogna Tom. Bill rapproche le fauteuil un peu plus!
Le plus jeune hésita une seconde, mais ne put refuser devant le regard déterminé de son frère. Il déverrouilla les roues et vint appuyer le côté du fauteuil contre la voiture.
Tom prit une grande inspiration et analysa la distance et la manière dont il pouvait s'y prendre, mis ses mains sur le siège de la voiture mais il comprit vite qu'il ne pourrait pas se soulever de cette façon. Il devait d'abord se lever du fauteuil. Il appuya les paumes de ses mains sur les bras du fauteuil et poussa de toute ses forces. Ses fesses levèrent à peine du siège, il retomba avec un grognement. Gordon et Simone firent un mouvement en avant mais Bill les arrêta en secouant la tête. Tom devait y arriver seul. Ils se reculèrent avec un regard triste. Sabrina restait en retrait, regardant le jeune homme se démener avec son fauteuil.
Tom...mon chéri...je pense que tu...Tenta doucement Simone mais Tom lui lançant un regard noir et les épaules de Simone s'affaissèrent.
Il continua d'essayer pendant de longues minutes, il était fort, il pouvait se soulever mais, le manque de pratique l'empêchait de faire les bon mouvement. Il savait qu'il aurait du apprendre à le faire avant de sortir de l'hôpital, il aurait du demander au physiothérapeute. Il commençait à s'impatienter, grognant et soufflant, tapant sur le bras du siège chaque fois qu'il ratait son coup. Sa famille continuait de le regarder et il ne supportait pas leur regard remplis de tristesse et de pitié. Il devait être là depuis 20 bonnes minutes lorsqu'il reçu une claque sur le bras.
Aie!! S'écria-t-il en se retournant vers Sabrina qui le fixait les mains sur les hanches.
Tu n'as pas un peut finit oui!
Que...
Chacun retint son souffle, que se passait-il donc?
Tu ne veut pas de leur aide? Tu ne veut pas de leur amour? Personne ici n'a pitié de toi, tout le monde sait que tu en sera capable avec le temps! Ta famille t'aime plus que tout et ils veulent être là pour toi! Les laisser t'aider ce n'est pas être faible au contraire! Ça prend bien plus de force d'assumer que l'on a besoin d'aide que de rejeter les autres! Je sais que c'est dur et je ne te dis pas d'accepter ce qui t'es arriver aujourd'hui, juste de voir tu n'es pas seul.
Il eut un long silence, personne ne sachant que dire et la jeune femme soupira.
Maintenant, laisse les t'aider...juste cette fois-ci et tu pourras t’entraîner à le faire chez toi. Tu ne peux pas tout réussir du premier coup. Tu es fort, intelligent et débrouillard, tu pourras faire tout ce que tu veux avec le temps, mais tu dois accepter que tu n'es pas seul et que tu peux compter sur les autres aussi.
Tom restait silencieux, la fixant sans expression et elle soutenant son regard.
Sa...Sabrina...Murmura Simone, surprise par la franchise de la jeune femme. Elle avait dit si facilement ce qu'elle-même n'arrivait pas à dire. Bien sur qu'elle n'avait pas pitié de son fils, elle était triste pour lui, elle avait peur pour lui mais, elle savait qu'il s'en sortirait avec le temps.
Gordon! Fit soudain Tom et l'appelé sursauta.
Ou...oui?
Le jeune homme leva un bras en silence, évitant le regard de son beau-père. Gordon passa un bras sous celui de Tom et l'autre sous ses jambes avant de le hisser de son mieux sur la banquette. Tom plaça lui-même ses jambes correctement et Bill plia le fauteuil avant de le mettre dans le coffre. Sabrina resta là en silence, persuadé qu'près ça Tom ne voudrait plus jamais lui parler. Elle savait qu'elle avait été un peu brutal, mais elle savait aussi que parfois certaines personne ont besoin d'être secouées.
Ne reste pas planté là. Fit soudain Tom. Tu dois monter de l'autre côté .
Oh...euh oui j'arrive.
Elle contourna la voiture et Bill la laissa passer devant lui pour qu'elle place au milieu. Elle prit place près de Tom sans vraiment oser le déranger, même si elle pensait ce qu'elle avait dit, le dire aussi agressivement...elle se sentait un peu coupable.
Personne ne parla jusqu'à arrivé à la maison, Tom eut plus de facilité à se glisser dans son fauteuil sans aide et Bill le poussa vers la maison. Ils avaient installés une rampe de bois temporaire pour monter les quelques marches du perron.
Nous avons descendu ta chambre dans la chambre d'ami du rez-de-chaussé pour le moment. Dit doucement Simone une fois à l'intérieur.
Tom grimaça un peu mais hocha la tête avant de pousser lui-même son fauteuil vers la chambre à côté du salon.
Derrière lui Sabrina hésitait, debout dans le vestibule. Bill la poussa tout doucement dans le dos et lui fit un sourire encourageant. Elle hocha la tête et suivi Tom qui fixait son lit en silence, elle entra et referma la porte.
Ce n'est pas mon lit...il est plus bas que l'autre....murmura-t-il.
Je...j'imagine qu'ils voulaient que tu puisse y monter et en descendre par toi-même plus facilement. Répondit la jeune femme d'une voix douce.
Que je le fasse moi-même...
Tom posa une main sur son nouveau lit, toujours dos à la jeune femme.
Tom je...je suis désolé je t'ai brusqué, ta mère semblait si triste, ils voulaient tellement t'aider je ne savaient pas quoi faire et...pardon je suis trop agressive...je n'ai pas pris en compte tes sentiments. S'excusa-t-elle et il la regarda enfin.
Je ne t'en veut pas....bon tu as frapper là ou ça fait mal mais...je sais que tu n'as pas voulu mal faire. Répondit Tom d'un ton neutre.
Pardon...
Je ne peux pas l'accepter....
Le jeune homme serra les poings et des larmes commencèrent à couler sur ses joues.
Tu as raison, ils n'ont surement pas pitié, mais...je ne veut pas d'aide...je veux....je veux juste être comme avant. Hoqueta le brun en secouant la tête. Je sais que je ne suis pas seul, mais personne ne peut vraiment comprendre ce que c'est....ils veulent tous faire de leur mieux pour moi et moi je veux juste....je ne veux pas qu'ils aient à se sacrifier pour moi.
Tom....
Pour une rare fois, elle ne savait trop que dire, elle était d'habitude joyeuse et elle adoucissait toujours la situation, mais à cet instant elle ne savait que faire.
Tu sais...continua Tom en tentant de sécher ses larmes qui ne cessait de couler. Tu m'aides vraiment beaucoup, tu ne m'as jamais regarder tristement, tu n'as jamais pensé que mon handicap était dérangeant. Peut-être parce que tu m'as connu comme ça. En tout cas...même si je ne risque pas d'être facile à vivre de si tôt, j'espère que tu resteras avec moi....
N'en pouvant plus de le voir pleurer elle se jeta à son coup et le serra à l'en étouffer.
Je te demande pardon, pardon, pardon Sanglota-t-elle dans le cou du jeune homme qui la serra en retour. Elle était maintenant assise sur lui mais, aucun des deux ne semblait s'en soucier.
Je te promet d'être plus patiente et si ça ne va pas, je veux que tu m'en parle.
Arrête de pleurer je t'en prie, c'est encore pire, je ne veux pas que tu pleure pour moi, tu es supposé être toujours souriante.
Elle se redressa un peu en reniflant et il ne put s'empêcher de sourire un peu à travers ses larmes avant d'essuyer les joues de la jeune femme avec l'une de ses manches.
Tu es supposé être mon rayon de soleil coloré, alors reste toi-même d'accord. Murmura le brun.
C'est ce que je suis pour toi?
Il rougit un peu en réalisant ce qu'il venait de lui dire mais il hocha un peu la tête en regardant ailleurs. Elle lui sourit et le serra de nouveau, appuyant sa tête sur son épaule large.
Ils restèrent un petit moment comme ça, en silence et sursautèrent tous les deux lorsqu'on frappa à la porte de la chambre. Sabrina se releva d'un bond, réalisant qu'elle avait passé tout ce temps sur les genoux de Tom. La porte s’entrouvrit et Simone apparut.
Je ne veux pas vous déranger, mais je voulais savoir si Sabrina allait manger avec nous puisqu'il est presque midi et si vous vouliez quelque chose à boire.
Oh euh bien sur, je veux bien manger si je ne dérange pas et je prendrais bien un verre d'eau. Répondit Sabrina.
Un coca pour moi, s'il-te-plait. Ajouta Tom.
Simone hocha la tête et disparut, les deux jeunes échangèrent un regard avant de pouffer de rire nerveusement, tout le stress et le malaise de la situation se dégageant de leurs épaules.
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